[vc_row][vc_column width= »1/1″][vc_column_text width= »1/1″ el_position= »first last »]

La commission de sciences physiques et chimie 2013 était animée par Rémy Vanhalle (animateur de sciences de l’ASEE). Elle s’est déroulée le vendredi 22 novembre. Les professeurs présents à cette commission étaient les suivants : M. Jérôme Doppler, M. Thierry Eynard, M. Yves Dupin de Saint-Cyr, M. Hervé Pennec et M. Éric De Acuna.

[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column width= »1/1″][vc_column_text width= »1/1″ el_position= »first last »]

A.     Présentation

La commission de sciences physiques et chimie a débuté à 8 h 50. Le professeur excusé était du collège de Baganda.

Les enseignants du collège Dö Mwà, du collège Do Neva, du lycée agricole de Do Neva, ne se sont pas présentés.

Les professeurs des collèges de Havila et Hnaizianu ont expliqué pourquoi ils ne sont pas venus après la commission.

[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column width= »1/1″][vc_column_text width= »1/1″ el_position= »first last »]

B.     État des lieux des laboratoires dans les établissements

Pendant le tour de table, chaque professeur a présenté l’état de son laboratoire dans son établissement.

Pour Thierry et Jérôme du lycée Do Kamo, leur labo est dans un bon état. Il y a 10 ordinateurs dans le labo qui seront remplacés par des ordinateurs neufs. Les terminales peuvent réaliser des travaux pratiques d’expérimentation assistée par ordinateur. Jérôme à gérer un dossier de subvention qui a permis d’obtenir une aide de la province Sud. La gestion de cette subvention est dans les mains du service immobilier de l’ASEE.

Au collège Boaouva Kaleba, Yves signale qu’il n’y a pas d’eau dans le laboratoire. Il manque également des manuels, avec le nouveau programme. Il y a suffisamment de matériel pour les TP d’électricité, mais les normes de sécurité sont à revoir. Yves fait tous les TP en salle informatique.

À Maré, au collège de Taremen, Éric signale qu’il y a plus de matériels d’électricité que de chimie. Il n’existe pas de véritable salle de Travaux Pratiques, il manque de l’eau. Pour les manuels, il utilise le cahier d’activités, des éditions Durandeau.

À Ouvéa, au collège d’Eben Eza, Hervé a un nouveau laboratoire équipé. Il lui manque des manuels, avec le socle commun (nouveaux programmes des collèges).

[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column width= »1/1″][vc_column_text width= »1/1″ el_position= »first last »]

C.     Activités expérimentales et démarche d’investigation

Présentation et étude d’un document que j’ai élaboré sur la démarche d’investigation.

La démarche d’investigation est une nouvelle manière d’enseigner.

Une présentation par l’enseignant est parfois nécessaire, mais elle ne doit pas constituer l’essentiel d’une séance dans le cadre d’une démarche qui privilégie la construction du savoir par l’élève.

Il appartient au professeur de déterminer les sujets qui font l’objet d’un exposé et ceux pour lesquels la mise en œuvre d’une démarche d’investigation est pertinente.

La démarche d’investigation présente des analogies entre son application au domaine des sciences expérimentales et à celui des mathématiques.

Une éducation scientifique complète se doit de faire prendre conscience aux élèves soit de la proximité de ces démarches (résolution de problèmes, formulation respectivement d’hypothèses explicatives et de conjectures) et des particularités de chacune d’entre elles, notamment en ce qui concerne la validation, par l’expérimentation d’un côté, par la démonstration de l’autre.

 

Mise en œuvre de la démarche d’investigation.

Aspect d’une démarche

La démarche s’appuie sur le questionnement des élèves et sur la résolution de problèmes.

Les investigations réalisées avec l’aide du professeur, l’élaboration de réponses, la recherche d’explications et de justification débouchent sur l’acquisition de connaissances, de compétences méthodologiques et sur la mise au point de savoir-faire technique

Le professeur doit utiliser la démarche d’investigation chaque fois qu’elle est possible

La démarche d’investigation est basée sur l’observation, l’expérimentation par l’action directe par les élèves sur le réel

Une séance d’investigation doit être conclue par des activités de synthèse et de structuration organisées par l’enseignant, à partir des travaux effectués par la classe.

 

Canevas d’une séquence d’investigation.

Ce canevas n’est qu’un exemple

Une séquence est constituée en général de plusieurs séances relatives à un même sujet d’étude

Choix d’une situation, d’un problème.

Analyser les savoirs visés, déterminer les objectifs à atteindre

Repérer les acquis initiaux des élèves

Identifier les conceptions ou les représentations des élèves

Élaborer un scénario d’enseignement en fonction de l’analyse de ces différents éléments.

Appropriation du problème par les élèves.

Les élèves proposent des éléments de solution qui permettent de travailler sur leur conception initiale (confrontation des divergences pour favoriser l’appropriation du problème à résoudre)

L’enseignant guide le travail des élèves et parfois aide à reformuler les questions pour s’assurer de leur sens et centrer sur le problème à résoudre. Ce guidage ne doit pas amener à occulter ces conceptions initiales, mais au contraire à faire naître le questionnement.

Formulation de conjectures, d’hypothèses explicatives, de protocoles possibles

Formulation orale ou écrite de conjectures ou d’hypothèses

Élaboration éventuelle d’expériences, destinées à tester ces hypothèses ou conjectures

Communication à la classe des conjectures ou des hypothèses et des éventuels protocoles expérimentaux proposés.

Investigation ou la résolution du problème conduite par les élèves

Moment de débats internes au groupe d’élèves

Contrôle de l’isolement des paramètres et de leurs variations, description et réalisation de l’expérience (schéma, description écrite)

Description et exploitation des méthodes et des résultats, recherche d’éléments de justification et de preuve, confrontation avec les conjectures, les hypothèses formulées.

Échange argumenté autour des propositions élaborées

Communications au sein de la classe des solutions élaborées, des réponses apportées, des résultats obtenus, les interrogations qui demeurent

Confrontation des propositions, départ autour de leur validité, recherche d’arguments (cet échange peut se terminer par le constat qu’il existe plusieurs voies pour parvenir au résultat attendu).

Acquisition et structuration des connaissances

Mise en évidence, avec l’aide de l’enseignant de nouveaux éléments de savoir

Confrontation avec le savoir établi (comme autre forme de recours à la recherche documentaire, recours aux manuels), en respectant des niveaux de formulation accessibles aux élèves, donc inspiré des productions auxquelles les groupes sont parvenus

Recherche des causes d’un éventuel désaccord, analyse critique des expériences faites et proposition d’expérience complémentaires

Reformulation écrite par les élèves, avec l’aide du professeur, des connaissances nouvelles acquises en conséquence.

Mobilisation des connaissances

Exercices permettant d’automatiser certaines procédures, de maîtriser les formes d’expressions liées aux connaissances travaillées

Nouveaux problèmes permettant la mise en œuvre des connaissances acquises dans de nouveaux contextes

Évaluation des connaissances et des compétences méthodologiques

Un débat s’en est suivi, entre le lycée et le collège, car il faut savoir que depuis la réforme des lycées il est obligatoire que la démarche d’investigation  soit réalisée.

 

Nous avons poursuivi par l’étude de deux diaporamas sur la démarche d’investigation. Le premier met en exergue :

  • Pratique pédagogique qui place les élèves en situation de recherche en s’appuyant sur leur questionnement sur le monde réel.
  • L’objectif : Permettre aux élèves de mener des investigations avec l’aide du professeur qui doivent déboucher sur :

–      L’acquisition de connaissances ;

–      L’acquisition de compétences méthodologiques ;

–      La mise au point de savoir-faire techniques.

 

Le deuxième diaporama présente différentes tâches complexes (de l’académie de Besançon) qui sont pluridisciplinaires.

 

Les deux diaporamas peuvent être téléchargés à partir du drive, lié à l’adresse mail profsspc@asee.nc.

[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column width= »1/1″][vc_column_text width= »1/1″ el_position= »first last »]

D.     Réalisation d’une tâche complexe

Thème : structure de la matière

Niveaux : quatrième – seconde

Questionnement : Comment trouver la distance entre la foudre et moi ? (Différence entre la vitesse du son et la vitesse de la lumière)

Trouver des documents par rapport aux différentes vitesses

Pour la situation déclenchante deux vidéos, la première montrant un foudroiement proche de l’observateur, la deuxième montre un foudroiement éloigné, laissant entendre un décalage entre l’éclair et le tonnerre. Il faudrait fournir aux élèves un chronomètre pour qu’ils puissent mesurer l’écart de temps.

Pour la problématique, il faut  poser une ou deux questions, en question supplémentaire « comment savoir qu’un orage se rapproche ou s’éloigne ?»

Fournir aux élèves un document avec la vitesse de la lumière en ordre de grandeur. Un document annexe peut être donné, pour montrer combien de temps met le son pour faire le tour de la terre.

Inclure dans le document de travail les indicateurs de réussite.

Former des groupes de travail d’un ou deux élèves ayant un ordinateur un casque et un chronomètre.

Demander qu’un ou deux groupes présentent le travail qu’ils ont fait.

La production n’a pas pu être finalisée, il a été demandé aux professeurs présents de la terminer pour la présenter à la prochaine commission en 2014.

[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column width= »1/1″][vc_column_text width= »1/1″ el_position= »first last »]

E.     Questions diverses

  • trouver des simulateurs, des outils qui remplacent les travaux pratiques ;
  • Il est intéressant d’avoir un manuel numérique, pour le collège, permettant de l’intégrer dans différentes activités ;
  • demande de stage pour la création d’une progression commune à l’ASEE

 

Pour la prochaine commission en 2014 il sera demandé, qu’un enseignant de physique chimie représente son établissement et apporte une tâche complexe qu’il aura créée lui-même.

[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row]

[vc_row][vc_column width= »1/1″][vc_column_text width= »1/1″ el_position= »first last »]

La commission de sciences de la vie et de la terre de l’année 2013 était animée par Rémy Vanhalle (animateur de sciences de l’ASEE). Elle s’est déroulée le vendredi 29 novembre. Les professeurs présents à cette commission étaient les suivants : Mme Ajapuhnya Évelyne, Mme Wright Stéphanie, Mme Lynda N’Guyen Van Soc, M. Jacky Song et M. Guillaume Ganet.

[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column width= »1/1″][vc_column_text width= »1/1″ el_position= »first last »]

A.     Présentation

La commission des sciences de la vie de la terre a débuté à 8 h 40. Les professeurs excusés proviennent des établissements :

–          Collège de Boaouva Kaleba

–          Collège Do Neva

–          Lycée Do Kamo (M. Bahri a prévenu qu’il ne viendrait pas lors d’une rencontre informelle)

 

Les enseignants du collège Dö Mwà et du lycée agricole de Do Neva, ne se sont pas présentés.

La commission a accueilli, comme invité et nous l’en remercions de cette participation, Madame Carole Bernard, collègue de la FELP.

[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column width= »1/1″][vc_column_text width= »1/1″ el_position= »first last »]

B.     Présentation des diverses démarches dans les sciences expérimentales et en sciences de la vie de la terre

Après avoir fait un tour de table pour permettre aux professeurs de se présenter, j’ai diffusé un diaporama montrant les différentes démarches.

J’ai voulu recadrer les démarches et préciser l’importance que représente la démarche d’investigation dans les méthodes pédagogiques que les professeurs doivent adopter.

Le diaporama a permis de rappeler qu’il est souhaitable que les notions des programmes soient construites et non imposées. L’importance de l’argumentation, d’une part, et la proportion de celles apportées par le professeur et celle recherchée par les élèves, d’autre part, relèvent de la liberté pédagogique de l’enseignant. Ce préambule permet de rappeler que l’ensemble des professeurs utilise le plus souvent une démarche explicative.

Le professeur doit favoriser le questionnement des élèves en choisissant les situations déclenchantes appropriées.

Le professeur peut utiliser plusieurs types de démarches :

•             la démarche expérimentale

•             la démarche d’investigation

•             la démarche de projet

•             la démarche scientifique

[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column width= »1/1″][vc_column_text width= »1/1″ el_position= »first last »]

C.     La démarche expérimentale

La démarche expérimentale est « une méthode scientifique qui repose tout entière sur la vérification expérimentale d’une hypothèse scientifique » Claude Bernard. À la démarche expérimentale, nous pouvons associer la notion scientifique d’hypothèse et d’expérience permettant de faire et de refaire une vérification expérimentale d’une hypothèse.

Elle se base sur l’observation du réel, qui permet de se poser des questions à propos des phénomènes, de formuler l’hypothèse pour l’expliquer. On en déduit toutes les conséquences logiques, permettant de concevoir toutes les expériences possibles pour vérifier cette hypothèse et ses conséquences. Si toutes les expériences confirment l’hypothèse et ses conséquences, on peut formuler une règle générale appelée loi. Si une seule expérience contredit l’hypothèse et ses conséquences, on ne peut pas formuler de règle générale.

La démarche expérimentale n’est pas la seule démarche scientifique. L’observation, les mesures, l’enregistrement de données, la modélisation et la simulation sont également des démarches scientifiques. L’important est de pouvoir faire émerger les éléments observables quantifiables de les confronter à des hypothèses, de pouvoir maîtriser la démarche pour éventuellement reproduire et de discuter de ses résultats.

demarche_exp

[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column width= »1/1″][vc_column_text width= »1/1″ el_position= »first last »]

D.     La démarche d’investigation

La démarche d’investigation est formée de sept moments essentiels, l’ordre dans lequel ils se succèdent ne constitue pas une trame de manière linéaire. Le temps consacré à chacun de ces moments doit être adapté au projet pédagogique de l’enseignant.

1-le choix d’une situation déclenchante (problème)

2-l’appropriation du problème par les élèves

3-la formulation d’hypothèses explicatives de protocoles possibles

4-les investigations ou la résolution du problème fait en autonomie par les élèves

5-l’échange argumente autour des propositions

6-l’acquisition et structuration des connaissances

7-la mobilisation des connaissances entraînant un réinvestissement

La démarche d’investigation n’est pas exclusive et tous les objets d’étude ne se prêtent pas également à la mise en œuvre.

 Démarche d'investigation

La démarche d’investigation au lycée

Il est d’usage de décrire une démarche d’investigation comme la succession d’un certain nombre d’étapes :

•             une situation motivante suscitant la curiosité

•             la formulation d’une problématique précise

•             l’énoncé d’hypothèses

•             l’élaboration de stratégie pour éprouver ces hypothèses

•             la mise en œuvre du projet ainsi élaboré

•             la confrontation sous forme de débats des résultats obtenus et des hypothèses

•             la conceptualisation d’un savoir mémorisable

Ce canevas est l’élaboration d’une démarche type. Il convient d’en choisir quelques étapes lors de la conception des séances. Elle est un espace de liberté pédagogique pour le professeur. Cependant il devra vérifier que les différentes étapes auront été envisagées à la fin de l’année.

[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column width= »1/1″][vc_column_text width= »1/1″ el_position= »first last »]

E.     La démarche de projet

La démarche de projet consiste à concevoir, innover, créer et réaliser une production à partir d’un besoin à satisfaire.

Elle conduit toujours l’élève à une production réelle.

Elle a donc par nécessité une implication affective forte. Elle développe des comportements justifiés par la nécessité, comme se documenter, planifier communiquer et s’organiser. Elle est souvent pluridisciplinaire, car complexe et faisant appel à différents types de savoir.

Elle entraîne des apprentissages à réinvestissement immédiat.

Elle peut prendre appui sur un concours, une visite, etc. Cette approche par projet peut permettre de conduire une démarche d’investigation ou historique de façon différenciée.

Pendant la démarche de projet, chaque élève peut être seul ou en groupe

La production peut être exploitable collectivement et conduire après mutualisation, à un savoir collectif. L’élaboration de la production peut être l’occasion d’approfondir l’usage des technologies de l’information et de la communication.

La démarche est divisée en six étapes :

1) l’émergence de l’idée

2) l’analyse de la situation

3) le choix d’une stratégie

4) le montage et la planification

5) la mise en œuvre

6) l’évaluation bilan et le réajustement éventuel de la notion

L’élève n’est pas isolé dans son travail. L’enseignant encadre le travail des élèves dans toutes les étapes de la démarche de projet. L’enseignant adopte des postures différentes suivant le niveau des élèves.

[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column width= »1/1″][vc_column_text width= »1/1″ el_position= »first last »]

F.     La démarche historique

Cette démarche se base sur l’approche historique d’une question scientifique, qui peut être une manière originale de construire une démarche d’investigation.

L’enseignement de l’histoire des sciences peut contribuer à :

v  modifier les pratiques, permettant la pluridisciplinarité en prenant en considération les représentations des élèves et les obstacles à l’apprentissage ;

v  motiver l’élève à la science, en le faisant réfléchir sur son rapport à la science, ses propres conceptions de la science, sur les idées qu’ils se fait des rapports entre la science et la société, favoriser l’évolution de sa conception et de sa curiosité pour la science ;

v  transformer le rapport au savoir scientifique en donnant à l’élève la possibilité de reconsidérer ses propres modèles spontanés.

 

Pendant la commission des sciences de la vie et de la terre d’autres démarches ont été vues, d’un point de vue sémantique.

[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column width= »1/1″][vc_column_text width= »1/1″ el_position= »first last »]

G.     Les tâches complexes

 

J’ai présenté des tâches complexes provenant de plusieurs académies. Leur étude a montré qu’il existe un canevas pour les faire.

La tâche complexe est conçue de façon à avoir :

1-      le titre

2-      le niveau et la durée

3-      la situation déclenchante

4-      le support de travail

5-      le ou les consignes données aux élèves

6-      les références liées aux programmes donnés par le BO

7-      les compétences du socle commun

8-      les aides ou coups de pouce

9-      les réponses attendues

Guillaume Ganet, Stephanie Wright et Carole Bernard ont présenté des tâches complexes. Ils les ont soumis aux professeurs présents, pour qu’ils puissent apporter leur aide et des corrections.

[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column width= »1/1″][vc_column_text width= »1/1″ el_position= »first last »]

H.    Le stage TICE

Le formateur Monsieur Frédéric Uyttenhove nous a reçus dans son laboratoire du lycée du Grand Nouméa. Il a présenté la formation sur les TICE et il a mis à la disposition de l’ensemble des professeurs un disque dur contenant les logiciels susceptibles d’être utilisés ainsi que des animations flash… Il s’est mis à notre disposition pour répondre aux problèmes que nous pouvions rencontrer. À la demande de Guillaume Ganet, il a fait une présentation ExAO. Il nous a montré comment obtenir des flexcams adaptables au microscope à faible coût.

Nous avons pu utiliser des logiciels pour apprendre à les maîtriser.

La commission des sciences de la vie de la terre s’est terminée par des questions diverses. Il en ressort que :

–          La commission traitera des activités et des tâches complexes, propres aux pays.

–          La formation TICE se fera pendant les vacances.

[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row]