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Cette première commission de l’année 2013 était animée par Rémy Vanhalle (Animateur de sciences de l’ASEE) et s’est déroulée le vendredi 12 juillet. Les professeurs présents à cette commission étaient les suivants : Lionel Dubourg (Collège Boaouva Kaleba), Luc « Marcel » Gaulon (Collège Do Neva), Hubert Kauma (Collège Eben Eza), André Kaemo (Collège Dö Mwà), Rémi Champoussin (Lycée agricole Do Neva), Eric Gravina (collège Baganda) et Philippe Yeiwene (Collège Taremen). Non représentés : collèges Havila et Hnaizianu (Excusés pour problème de transport).

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A. Projets

Chaque professeur a parlé de ses projets et de l’état des lieux de sa salle. Permettant à la commission de commencer par un tour de table, ayant pour but, de permettre aux nouveaux professeurs de connaître les anciens.

Éric Gravina (collège de Baganda)

A mis en place des projets ayant pour thème le développement durable et écocitoyen. Il travaille maintenant en appliquant la méthode des îlots.

Hubert Kaouma (collège Eben Eza)

A également mis en place des projets sur le développement durable, avec l’étude de la centrale de dessalement. Il adapte ses cours à son environnement local. Il utilise aussi la méthode des îlots, avec des ordinateurs portables, permettant le travail en groupe autonome, au sein de ses classes. La création de maquettes pour la modélisation est utilisée dans sa classe de cinquième. Sa sixième fonctionne par centres d’intérêt.

Philippe Yewene (collège de Taremen)

A remis en état la salle de technologie. Pour les troisièmes, il utilise le logiciel « Sweet Home 3D » qui est un logiciel de modélisation, permettant l’aménagement des meubles d’un logement sur un plan en 2D, avec une prévisualisation en 3D. Un de ses projets porte sur le santal. En sixième élaboration d’un objet technique, avec les cinquièmes, il utilise le bois des palettes pour faire des niches.

André Kaemo (collège de Dö Mwà)

Est un professeur multimatière (polyvalent), anglais et technologie. En classe de sixième il fait de la présentation assistée par ordinateur (PeAO) et demande à ses élèves de lui envoyer leur devoir par mail. Avec le professeur de sciences, il étudie le maquis minier et l’érosion pour ses projets.

Luc Gaulon (collège de Do Neva)

Dans son état des lieux, constate un réel problème au niveau du rééquipement. Pour ses projets il utilise les objets courants, qu’il récupère, entrant ainsi dans le développement durable et l’écocitoyenneté. Pour les sixièmes, il utilise des thématiques, pour les cinquièmes un projet basé sur le bâtiment, en exemple in situ le chantier cuisine – réfectoire. Les quatrièmes font de la récupération pour fabriquer un four solaire à base de carton et de papier aluminium. Les troisièmes sont sur la prestation de services, mais en laissant le choix du projet aux élèves (panneau solaire, éolienne…). M. Gaulon a mis en pratique un système d’évaluation qui lui permet de prendre en compte la validation des items du socle commun, le point Lomer. (Cf : http://michel.vauquois.free.fr/Presentation.html).

Rémi Champoussin, du Lycée agricole de Do Neva, (Personnel Ressource Informatique), est intervenu pour parler de son parc informatique.

Lionel Dubourg (collège Boaouva Kaleba)

Les projets qu’il met en place ont pour cadre le développement durable. Pour les sixièmes, le thème retenu est un vélo rechargé grâce à l’énergie solaire, pour les cinquièmes, l’étude d’un thème sur le bâtiment (climatisation sans énergie), pour les quatrièmes, l’irrigation automatique, se basant sur la récupération de l’eau de pluie. Les troisièmes travaillent en deux groupes, sur le projet d’un séchoir solaire. Lionel a réaménagé sa classe en supprimant le muret qui séparait l’espace info et a fermé l’espace atelier. Il a des portables qui lui permettent de travailler en îlots. Il travaille également en « N computing » un poste maître lié à 12 clients légers (utilisation d’un Windows multipoint pour la mise en place du réseau). Utilisation d’un vidéoprojecteur Epson EB-475Wi, vidéoprojecteur interactif qui serait une solution pour avoir des TBI.  L’établissement, grâce à Lionel a mis en place l’ENT, ainsi que l’utilisation de Google Apps pour Education qui permet d’avoir un espace personnalisé pour chaque élève et professeur depuis 4 ans. L’évaluation des compétences se fait par le logiciel sacoche, et la priorisation est à l’utilisation des logiciels libres. Il propose également de remettre du wi-fi sur son établissement.

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B. Nouveaux programmes : automatisme

Pour l’automatisme dans le bilan des nouveaux programmes, j’ai présenté aux professeurs, les différentes recherches que j’ai pu trouver sur le Net :

1-      Une présentation d’un travail d’un prof sur l’automatisme ;

2-      Un site mêlant ressources et exercices flash ;

3-      Un exercice flash se basant sur l’utilisation d’un organigramme pour les commandes d’une barrière automatique ;

4-      La valisettes des TICE, qui est sur le site pédagogique de technologie (vice-rectorat) ;

5-      Un logiciel libre de tous droits pour la création d’organigrammes « logicator »

6-      Des documents divers (exemple de cours, fiches, capacités, ….).

L’ensemble des documents est sur le drive de l’espace coopératif des professeurs de techno de l’ASEE.

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C. Le livret des compétences

La nouvelle directive (Ref : note de service n° 2012-154 du 24-9-2012) pour le socle commun est une simplification de la validation. Hubert a confirmé qu’il l’appliquerait cette année.

Donc, « dans le cas des élèves ne rencontrant pas de difficultés particulières, l’attribution du socle repose uniquement sur la validation des sept compétences ».

Mais « lorsqu’il s’avère que l’acquisition d’une compétence est discutée, les équipes pédagogiques ne renseignent que les domaines et non plus les items (26 domaines, pour le palier 3, contre 97 items au total).

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D. Questions Diverses

Un tour de table a été fait pour les questions diverses, il en ressort une demande de formation aux réseaux qui est à mettre en place à l’APEP pour 2014.

Après discussions, les professeurs de technologie ont décidé que la commission de technologie fonctionnerait avec un espace collaboratif basé sur l’adresse mail (qui a déjà été créé) proftechno@asee.nc. Cette adresse bénéficie de 30 Go d’espace sur le GoogleDrive, permettant aux professeurs et à l’animateur de placer tous les documents et les informations qu’ils veulent partager.

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E. Maintenance de base d’un ordinateur

La maintenance du matériel informatique a été effectuée à l’aide de 2 UC, le matériel de base pour le nettoyage étant le coton-tige, l’alcool à 90°, la patte thermique, le tournevis multipointes et le tournevis étoile ainsi que la bombe à air comprimé.

Une des étapes primordiales à faire en début d’année est l’aération des UC, avec un dépoussiérage à l’aide de la bombe à air, ou d’un aspirateur ou d’un pinceau.

Suivant le nombre de bip au démarrage, il faut soit nettoyer les connectiques des RAM, à l’aide du coton-tige et de l’alcool à 90°, soit -si la nuisance sonore perdure- nettoyer à l’alcool la connectique de la carte graphique.

L’écran noir au démarrage peut provenir soit d’un mauvais fonctionnement du BIOS, alors un clear CMOS est obligatoire, le plus simple pour l’obtenir est le retrait de la pile et après 30 secondes, il est réinitialisé. S’il n’y a aucun changement, il faut vérifier que l’alimentation de l’UC est bonne en la remplaçant.

Quand l’ordinateur s’arrête durant une session. Si l’arrêt intervient à des temps qui ne sont pas constants, la possibilité est que la protection de la carte-mère, contre la surchauffe du processeur, s’enclenche. Il faut donc changer la pâte thermique qui recouvre le processeur. Dans la plupart des systèmes, à l’aide d’un tournevis, il faut retirer le ventirad. Puis, à l’aide du coton-tige, enlever la vieille pâte. En partant du centre mettre une couche fine de pâte thermique, de façon spiralée, en s’arrêtant avant le bord pour éviter qu’elle déborde sur le socket du processeur. La dernière étape consiste à remettre le ventirad en place.

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Cette première commission de l’année 2013 était animée par Maryline Wagino et Marcel Coste (Coordonateurs Histoire et géographie, collège Havila et collège Boaouva Kaleba) et s’est déroulée les vendredi 7 et samedi 8 juin. Les professeurs présents à cette commission étaient les suivants : Kapia Wahmetu (Collège Do Neva), Pierre N’gaiohni (Collège Eben Eza), Maryline Wagino et Farah Lawi (Collège Havila), Mireille Wamo (Collège Hnaizianu),  Marcel Coste (Collège Boaouva Kaleba). Non représentés : collèges Baganda, Dö Mwà et Taremen.

 

Remarque : les responsables regrettent que tous les collèges n’étaient pas représentés.  La Commission est un moment de concertation et d’échanges et celle-ci était particulièrement importante par la visite du Congrès et l’élaboration du Brevet blanc. Si la date ne convenait pas, elle aurait pu être modifiée suite à une demande.

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A. Visite du Congrès

Avec seulement 4 enseignants, la visite a été maintenue.

M. Turaud, actuellement collaborateur du président du Congrès nous a reçus pour une visite durant presque 3 heures.

Un diaporama est disponible en pièce jointe au compte-rendu. Nous n’avons pas rencontré d’élu mais la visite a été très intéressante. En effet, le fonctionnement du Congrès expliqué par un juriste est un bon complément à notre enseignement et utile pour tout citoyen calédonien.

Les séances du congrès sont diffusées sur le site www.congres.nc

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B. Tests de 6ème 2013

Les résultats sont disponibles sur le site de l’ASEE. (Un mot de passe est nécessaire pour la consultation des résultats par élève.)

RangNomPrénomHistoireGéographieMoyenne
1CollègeBoaouva Kaleba7.511.59.5
2CollègeHavila8.39.28.8
3CollègeHnaizianu8.38.18.2
4CollègeDö Mwà6.36.26.2
5CollègeDo Néva5.16.86.2
AllianceScolaire7.78.58.1

Cliquez sur le lien suivant pour obtenir les résultats détaillés par établissement, par classe : Résultats en ligne (mot de passe sur demande à la direction)

Seuls 5 établissements ont renvoyé leurs résultats : Boaouva Kaleba, Dö Mwà, Do Neva, Havila et Hnaizianu. La discussion s’en trouve forcément limitée …

Voici les remarques concernant le test :
  • Cette année, l’ordre des exercices a été modifié et semble mieux convenir aux élèves.
  • La nouvelle grille de notation des items n’a pas pu se faire ; elle sera mise au point avec Michel Malgouzou.
  • Il est toujours possible de retravailler les sujets ou les questions selon la demande des enseignants. Pour cela, il suffit de contacter un des responsables Marcel ou Maryline ; la discussion et la décision seront prises en Commission.
  • L’intérêt d’une concertation collège-primaire et la maîtrise du français ont été soulevés.

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C. Programmes en lien avec l’histoire des arts et le socle commun

Même si on en parle moins, le socle commun reste un enjeu central de notre enseignement : aider l’élève quel que soit son niveau à progresser et  à construire des compétences.

Les programmes indiquent les démarches à suivre, les nouveaux manuels sont une aide précieuse pour les cours et les évaluations.

En histoire-géographie/éducation civique, nous validons en partie la compétence 1 : maîtrise de la langue (4 points attribués au Diplôme national du brevet [DNB]) ; la compétence 5 : culture humaniste et la compétence 6 : compétences sociales et civiques.

L’histoire des arts, enseignement pluridisciplinaire, s’inscrit dans les programmes et les objectifs du socle commun. Après un tour de table sur les expériences dans les collèges, il a été rappelé l’importance de l’histoire des arts :

  • dans sa participation à l’éducation au patrimoine : le patrimoine local doit être mis en avant.
  • dans l’acquisition des compétences méthodologiques, en particulier l’analyse de l’image (place importante de la caricature en histoire, au DNB).
  • le croisement d’œuvres et de regards parce que les œuvres sont de nature différente et parce que différentes disciplines interviennent ; permettant ainsi différents points de vue pour une même œuvre ou un même thème.
  • l’approche critique : en plus du point de vue personnel (j’aime ou je n’aime pas) qu’il faut argumenter, on invite les élèves à développer leur curiosité et leur sensibilité et à s’exercer à porter un jugement.

Tous les manuels proposent des itinéraires en Histoire des Arts, il ne faut pas se laisser entraîner par la multitude des possibilités mais faire des choix raisonnés en concertation avec l’équipe pédagogique et adaptés aux élèves.

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D. La classe « Défense et sécurité globales »

Le trinôme académique : les Armées, l’Éducation nationale et l’IHEDN (l’Institut des Hautes Etudes de Défense Nationale) permet par une convention la mise en place de la classe « Défense et sécurité globales ».

Le dispositif s’adresse plutôt à des élèves en difficulté mais avec des élèves motivés, il peut se décliner en option ou en classe PAC et nécessite un travail d’équipe. Des expériences pédagogiques sont visibles sur internet ; en NC, le collège de Magenta a une classe de 3ème Défense et mis en ligne son expérience :

http://www.ac-noumea.nc/magenta/magenta/la_classe_defense_6479.htm

 

http://eduscol.education.fr/cid45592/le-partenariat-defense-et-securite-globales.html

 

http://www.defense.ac-versailles.fr/spip.php?article63

Mais la défense n’est pas réductible à sa dimension militaire, la défense des populations face aux risques naturels, industriels ou sanitaires ou encore la défense du patrimoine culturel sont d’autres pistes possibles. La classe Défense peut être l’occasion de sensibiliser les élèves sur les questions liées à l’insularité et la vulnérabilité des milieux calédoniens mais également de découvrir des métiers liés à l’environnement, à la défense civile.

Dans un contexte de baisse d’effectifs et d’emploi du temps incomplet, les professeurs peuvent y trouver un intérêt.

Personne ressource : Mme Brigitte Haynaut, CPE au collège de Magenta et membre de l’IHEDN.

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E. Nouveau diplôme national du brevet 2013

Il est complètement modifié dans sa forme ; il concerne la série générale (et non plus collège) et la série professionnelle.

  • Le candidat répond sur le sujet lui-même (une dizaine de pages à compléter et à rendre en fin d’examen).
  • Toutes les questions comportent un intitulé et un cadre (avec des lignes), dans lequel l’élève inscrit sa réponse.
  • Les trois disciplines sont obligatoirement interrogées (plus de choix entre l’histoire et la géographie) : chaque partie correspondant à une discipline est divisée en 2 sous-parties :
    • la 1ère sous-partie comprend des questions : repères historiques, spatiaux et valeurs, principes respectivement aux disciplines puis des questions sur les chapitres des programmes,
    • la 2ème sous-partie est un travail sur un document avec un questionnement.
  • Les repères ne sont donc plus l’objet d’un exercice mais sont intégrés dans chaque discipline et le paragraphe argumenté disparaît.
  • La question qui porte sur un développement construit est associée à un cadre d’une vingtaine de lignes ; il est donné dans une partie, en histoire ou en géographie.
  • Une tâche cartographique est obligatoirement à réaliser en géographie, soit en question, soit dans la sous-partie « travail sur un document ».
  • Le barème des questions est laissé à l’appréciation des concepteurs des sujets ; la seule indication est d’accorder 13 points à l’histoire, 13 points à la géographie, 10 à l’éducation civique et 4 pour la maîtrise de la langue française. On veillera à équilibrer les difficultés.
  • Cette nouvelle organisation des sujets permet ainsi de proposer des exercices variés et portant sur tous les chapitres des programmes. Mais des questions hétéroclites, des consignes variées, sans thématique commune peuvent désarmer le candidat ; il nous faut donc préparer nos élèves.

 

Rappel : un stage est organisé avec l’IPR sur la préparation du DNB, l’inscription est close depuis peu.

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F. Brevet blanc de l’Alliance Scolaire (ASEE)

L’étude des sujets zéro en série générale édités par Eduscol et le sujet donné à Pondichéry en mai dernier confirme l’aspect hétéroclite des questions, la déconnexion entre les questions et le travail sur document et la nécessité pour les élèves d’une lecture attentive des consignes.

Le Brevet blanc de l’ASEE devant être passé entre fin septembre et début octobre, il est convenu d’élaborer le sujet :

  • en Histoire : sur les parties 1, 2 et 3 du programme (exclus « la vie politique en France »),
  • en Géographie : idem (exclus « le rôle mondial de la France et de l’Union européenne »),
  • en  Éducation civique : sur les parties 1 et 2 (exclus « la Défense et la paix »)

Le sujet est bien avancé : les thèmes, les documents et la partie liée aux programmes adaptés sont définis, les questions et consignes restent à formuler plus précisément. On ne peut pas les indiquer sur le compte-rendu car il sera en ligne, ceux qui souhaitent plus d’informations ou qui ont des propositions peuvent contacter Maryline ou Marcel.

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G. Informations diverses

  • Conférence de Stéphane Minvielle, maître de conférence, IUFM-NC : « Enseigner les sociétés coloniales en Nouvelle-Calédonie » ; Mercredi 19 juin à 17 Heures à la Salle de conférences de l’IUFM au 125 av James Cook à Nouville.
  • Les 25 ans des Accords Matignon célébrés au Congrès les 26, 27, 28 juin par les Journées Portes Ouvertes : visites des scolaires en journée et conférences tous les soirs d’Alain Christnacht, de juristes …
  • Les enseignants intéressés par une inscription CAER (CAPES interne du privé) doivent se faire connaître auprès de Michel Malgouzou. Une formation peut être mise en place ou une aide pour l’élaboration du dossier RAEP (Reconnaissance des acquis de l’expérience professionnelle) puis pour la préparation à l’épreuve orale.
  • Le D.U d’Histoire des Arts en Océanie à l’U.N.C. : possibilité de demander une formation pour suivre le module qui nous intéresse : « Histoire des arts océaniens » ou  « Patrimoines océanien et néo-calédonien » tout en bénéficiant de 80 % de son salaire. Si un enseignant d’HGEC est intéressé, il doit se faire connaître.

Maryline Wagino et Marcel Coste

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