[vc_row][vc_column width= »1/1″][vc_column_text]

Cette première commission de l’année 2013 était animée par Maryline Wagino et Marcel Coste (Coordonateurs Histoire et géographie, collège Havila et collège Boaouva Kaleba) et s’est déroulée les vendredi 7 et samedi 8 juin. Les professeurs présents à cette commission étaient les suivants : Kapia Wahmetu (Collège Do Neva), Pierre N’gaiohni (Collège Eben Eza), Maryline Wagino et Farah Lawi (Collège Havila), Mireille Wamo (Collège Hnaizianu),  Marcel Coste (Collège Boaouva Kaleba). Non représentés : collèges Baganda, Dö Mwà et Taremen.

 

Remarque : les responsables regrettent que tous les collèges n’étaient pas représentés.  La Commission est un moment de concertation et d’échanges et celle-ci était particulièrement importante par la visite du Congrès et l’élaboration du Brevet blanc. Si la date ne convenait pas, elle aurait pu être modifiée suite à une demande.

[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column width= »1/1″][vc_column_text]

A. Visite du Congrès

Avec seulement 4 enseignants, la visite a été maintenue.

M. Turaud, actuellement collaborateur du président du Congrès nous a reçus pour une visite durant presque 3 heures.

Un diaporama est disponible en pièce jointe au compte-rendu. Nous n’avons pas rencontré d’élu mais la visite a été très intéressante. En effet, le fonctionnement du Congrès expliqué par un juriste est un bon complément à notre enseignement et utile pour tout citoyen calédonien.

Les séances du congrès sont diffusées sur le site www.congres.nc

[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column width= »1/1″][vc_column_text]

B. Tests de 6ème 2013

Les résultats sont disponibles sur le site de l’ASEE. (Un mot de passe est nécessaire pour la consultation des résultats par élève.)

RangNomPrénomHistoireGéographieMoyenne
1CollègeBoaouva Kaleba7.511.59.5
2CollègeHavila8.39.28.8
3CollègeHnaizianu8.38.18.2
4CollègeDö Mwà6.36.26.2
5CollègeDo Néva5.16.86.2
AllianceScolaire7.78.58.1

Cliquez sur le lien suivant pour obtenir les résultats détaillés par établissement, par classe : Résultats en ligne (mot de passe sur demande à la direction)

Seuls 5 établissements ont renvoyé leurs résultats : Boaouva Kaleba, Dö Mwà, Do Neva, Havila et Hnaizianu. La discussion s’en trouve forcément limitée …

Voici les remarques concernant le test :
  • Cette année, l’ordre des exercices a été modifié et semble mieux convenir aux élèves.
  • La nouvelle grille de notation des items n’a pas pu se faire ; elle sera mise au point avec Michel Malgouzou.
  • Il est toujours possible de retravailler les sujets ou les questions selon la demande des enseignants. Pour cela, il suffit de contacter un des responsables Marcel ou Maryline ; la discussion et la décision seront prises en Commission.
  • L’intérêt d’une concertation collège-primaire et la maîtrise du français ont été soulevés.

[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column width= »1/1″][vc_column_text]

C. Programmes en lien avec l’histoire des arts et le socle commun

Même si on en parle moins, le socle commun reste un enjeu central de notre enseignement : aider l’élève quel que soit son niveau à progresser et  à construire des compétences.

Les programmes indiquent les démarches à suivre, les nouveaux manuels sont une aide précieuse pour les cours et les évaluations.

En histoire-géographie/éducation civique, nous validons en partie la compétence 1 : maîtrise de la langue (4 points attribués au Diplôme national du brevet [DNB]) ; la compétence 5 : culture humaniste et la compétence 6 : compétences sociales et civiques.

L’histoire des arts, enseignement pluridisciplinaire, s’inscrit dans les programmes et les objectifs du socle commun. Après un tour de table sur les expériences dans les collèges, il a été rappelé l’importance de l’histoire des arts :

  • dans sa participation à l’éducation au patrimoine : le patrimoine local doit être mis en avant.
  • dans l’acquisition des compétences méthodologiques, en particulier l’analyse de l’image (place importante de la caricature en histoire, au DNB).
  • le croisement d’œuvres et de regards parce que les œuvres sont de nature différente et parce que différentes disciplines interviennent ; permettant ainsi différents points de vue pour une même œuvre ou un même thème.
  • l’approche critique : en plus du point de vue personnel (j’aime ou je n’aime pas) qu’il faut argumenter, on invite les élèves à développer leur curiosité et leur sensibilité et à s’exercer à porter un jugement.

Tous les manuels proposent des itinéraires en Histoire des Arts, il ne faut pas se laisser entraîner par la multitude des possibilités mais faire des choix raisonnés en concertation avec l’équipe pédagogique et adaptés aux élèves.

[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column width= »1/1″][vc_column_text]

D. La classe « Défense et sécurité globales »

Le trinôme académique : les Armées, l’Éducation nationale et l’IHEDN (l’Institut des Hautes Etudes de Défense Nationale) permet par une convention la mise en place de la classe « Défense et sécurité globales ».

Le dispositif s’adresse plutôt à des élèves en difficulté mais avec des élèves motivés, il peut se décliner en option ou en classe PAC et nécessite un travail d’équipe. Des expériences pédagogiques sont visibles sur internet ; en NC, le collège de Magenta a une classe de 3ème Défense et mis en ligne son expérience :

http://www.ac-noumea.nc/magenta/magenta/la_classe_defense_6479.htm

 

http://eduscol.education.fr/cid45592/le-partenariat-defense-et-securite-globales.html

 

http://www.defense.ac-versailles.fr/spip.php?article63

Mais la défense n’est pas réductible à sa dimension militaire, la défense des populations face aux risques naturels, industriels ou sanitaires ou encore la défense du patrimoine culturel sont d’autres pistes possibles. La classe Défense peut être l’occasion de sensibiliser les élèves sur les questions liées à l’insularité et la vulnérabilité des milieux calédoniens mais également de découvrir des métiers liés à l’environnement, à la défense civile.

Dans un contexte de baisse d’effectifs et d’emploi du temps incomplet, les professeurs peuvent y trouver un intérêt.

Personne ressource : Mme Brigitte Haynaut, CPE au collège de Magenta et membre de l’IHEDN.

[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column width= »1/1″][vc_column_text]

E. Nouveau diplôme national du brevet 2013

Il est complètement modifié dans sa forme ; il concerne la série générale (et non plus collège) et la série professionnelle.

  • Le candidat répond sur le sujet lui-même (une dizaine de pages à compléter et à rendre en fin d’examen).
  • Toutes les questions comportent un intitulé et un cadre (avec des lignes), dans lequel l’élève inscrit sa réponse.
  • Les trois disciplines sont obligatoirement interrogées (plus de choix entre l’histoire et la géographie) : chaque partie correspondant à une discipline est divisée en 2 sous-parties :
    • la 1ère sous-partie comprend des questions : repères historiques, spatiaux et valeurs, principes respectivement aux disciplines puis des questions sur les chapitres des programmes,
    • la 2ème sous-partie est un travail sur un document avec un questionnement.
  • Les repères ne sont donc plus l’objet d’un exercice mais sont intégrés dans chaque discipline et le paragraphe argumenté disparaît.
  • La question qui porte sur un développement construit est associée à un cadre d’une vingtaine de lignes ; il est donné dans une partie, en histoire ou en géographie.
  • Une tâche cartographique est obligatoirement à réaliser en géographie, soit en question, soit dans la sous-partie « travail sur un document ».
  • Le barème des questions est laissé à l’appréciation des concepteurs des sujets ; la seule indication est d’accorder 13 points à l’histoire, 13 points à la géographie, 10 à l’éducation civique et 4 pour la maîtrise de la langue française. On veillera à équilibrer les difficultés.
  • Cette nouvelle organisation des sujets permet ainsi de proposer des exercices variés et portant sur tous les chapitres des programmes. Mais des questions hétéroclites, des consignes variées, sans thématique commune peuvent désarmer le candidat ; il nous faut donc préparer nos élèves.

 

Rappel : un stage est organisé avec l’IPR sur la préparation du DNB, l’inscription est close depuis peu.

[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column width= »1/1″][vc_column_text]

F. Brevet blanc de l’Alliance Scolaire (ASEE)

L’étude des sujets zéro en série générale édités par Eduscol et le sujet donné à Pondichéry en mai dernier confirme l’aspect hétéroclite des questions, la déconnexion entre les questions et le travail sur document et la nécessité pour les élèves d’une lecture attentive des consignes.

Le Brevet blanc de l’ASEE devant être passé entre fin septembre et début octobre, il est convenu d’élaborer le sujet :

  • en Histoire : sur les parties 1, 2 et 3 du programme (exclus « la vie politique en France »),
  • en Géographie : idem (exclus « le rôle mondial de la France et de l’Union européenne »),
  • en  Éducation civique : sur les parties 1 et 2 (exclus « la Défense et la paix »)

Le sujet est bien avancé : les thèmes, les documents et la partie liée aux programmes adaptés sont définis, les questions et consignes restent à formuler plus précisément. On ne peut pas les indiquer sur le compte-rendu car il sera en ligne, ceux qui souhaitent plus d’informations ou qui ont des propositions peuvent contacter Maryline ou Marcel.

[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column width= »1/1″][vc_column_text]

G. Informations diverses

  • Conférence de Stéphane Minvielle, maître de conférence, IUFM-NC : « Enseigner les sociétés coloniales en Nouvelle-Calédonie » ; Mercredi 19 juin à 17 Heures à la Salle de conférences de l’IUFM au 125 av James Cook à Nouville.
  • Les 25 ans des Accords Matignon célébrés au Congrès les 26, 27, 28 juin par les Journées Portes Ouvertes : visites des scolaires en journée et conférences tous les soirs d’Alain Christnacht, de juristes …
  • Les enseignants intéressés par une inscription CAER (CAPES interne du privé) doivent se faire connaître auprès de Michel Malgouzou. Une formation peut être mise en place ou une aide pour l’élaboration du dossier RAEP (Reconnaissance des acquis de l’expérience professionnelle) puis pour la préparation à l’épreuve orale.
  • Le D.U d’Histoire des Arts en Océanie à l’U.N.C. : possibilité de demander une formation pour suivre le module qui nous intéresse : « Histoire des arts océaniens » ou  « Patrimoines océanien et néo-calédonien » tout en bénéficiant de 80 % de son salaire. Si un enseignant d’HGEC est intéressé, il doit se faire connaître.

Maryline Wagino et Marcel Coste

[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column][vc_column_text]

[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row]

0 réponses

Laisser un commentaire

Participez-vous à la discussion?
N'hésitez pas à contribuer!

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *